Ligne vide = nouvelle colonne. Limitées par la somme des largeurs, en pratique ~7.
Le style est imposé, ne supporte quasiment que :
*Italique (donne gras)
*Souligné (donne gras)
*Barré
*Police plus grande
(obtenu par copié/collé)
Nous pensions avoir assez de défenses pour être en sécurité. Ce ne fut qu'une désillusion de plus. Depuis la porte de mon taudis je surveillais dans la pénombre la palissade de notre ville. Peu après le début de l'attaque, un groupe de zombies réussit à trouver une brèche et s'y enfila. Leurs ombres se dispersèrent au loin, et l'un d'entre eux se dirigea dans ma direction.
Immédiatement je claquais la porte et restais adossé derrière elle, terrorisé. Le bruit de ses pas lourds et irréguliers, traînants sur la terre battue, se rapprochait. Il s'arrêta devant la porte. J'entendais sa respiration bruyante et rapide, comme si cette chose humait l'air à la recherche de mon odeur.
Mais lorsqu'il se mit à hurler, ma terreur se transforma en désespoir. Dans ce cri déchirant, je reconnus sa voix. Ce ne pouvait être qu'elle. Revenait-elle vers moi pour me dire quelque chose ? Après un moment qui me parut interminable elle finit par se détourner de mes sanglots et rejoignit la horde qui mettait la ville à sac.
Si vous trouvez cette lettre, j'espère que vous comprendrez pourquoi j'ai menti en disant que j'allais chercher des ressources.
Je ne rentrerai pas ce soir.
La nuit est trop belle.