Écrit : Correspondance

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Rédacteur : Teia

(obtenu par copié/collé)

LETTRE DE GEORGE ZANT À ALFRED DE BUSSEY

Je dois dire que j'aimerais
vous revoir prochainement,
fourrer mes bras dans
les vôtres, être réconfortée.
Votre gouffre béant
est un puits sans fond,
si avide de découvertes,
qui auront causé votre perte.
Un horizon de douleur
s'est offert à vous
dans lequel j'espère bientôt
vous rejoindre car je me sens seule et je souhaite
pénétrer tête la première vers un futur calvaire.