Ligne vide = nouvelle colonne. Limitées par la somme des largeurs, en pratique ~7.
Le style est imposé, ne supporte quasiment que :
*Italique (donne gras)
*Souligné (donne gras)
*Barré
*Police plus grande
(obtenu par copié/collé)
J’étais… sadique.
Depuis le début, la seule force qui me poussait à survivre était de voir ces zombies massacrés, sanguinolents, le corps écartelé, les yeux arrachés. Je me complaisais dans cette boucherie. D’autres sont effrayés à la suite de ce spectacle horrible, et préfèrent se terrer dans leur maison, en attendant tout simplement leur fin. Personnellement, je ne voulais pas voir s’arrêter ce maelström de violence, ce feu d’artifice morbide, à aucun prix. Que cela soit au bâton, pour faire durer le plaisir, au couteau, pour les plus professionnels, plus les techniques étaient variées, plus j'avais envie de voir cette ville survivre longtemps. Je ne tirais que peu de complaisance de voir mes collègues massacrés, non pas parce cela me peinait, mais parce que la méthode des zombies manquait fortement d'originalité tout au long des attaques de ces 18 journées.
C'est alors que je trouvais, la panacée, que dis-je, le Saint Graal de la souffrance, des plaies écorchées, des effusions de sang! Nous avons eu besoin de nos dernières ressources pour “le” construire. Cette machine démoniaque, cette engeance de l'enfer mécanique, nous l'avons baptisé le “lance-tôle”. Cette création m'a procuré un plaisir incroyable lors de la dernière attaque, les zombies explosant littéralement de toute part, leurs membres épars étant à leur tour déchiquetés par cet impitoyable destructeur. Ahhh, quel plaisir…
Aucune autre invention ne surpasse celle-ci.
J'attends avec impatience cette nouvelle nuit…