Ligne vide = nouvelle colonne. Limitées par la somme des largeurs, en pratique ~7.
Le style est imposé, ne supporte quasiment que :
*Italique (donne gras)
*Souligné (donne gras)
*Barré
*Police plus grande
Cet écrit fait partie d'une série :
•Etude médicale 1 : morphologie comparative
•Etude médicale 2 : moeurs
•Etude médicale 3 : reproduction
•Etude médicale 4 : Alimentation
•Étude médicale 5 : Décès
(obtenu par copié/collé)
Etude analytique de l'anatomie et du comportement des non-vivants
Chapitre 3 : reproduction de l'espèce
De part leur nature, les non-vivants sont une espèce totalement nouvelle.
Ils ne sont ni ovipares, ni vivipares, et même en l'absence d'outils pour l'affirmer, je pense qu'ils ne se reproduisent pas non plus de façon communément admise (un mâle, une femelle).
De fait, il est maintenant quasiment sûr qu'ils se reproduisent par contact buccal. Si un humain normalement constitué est mordu (et/ou dévoré de façon atroce) par l'un d'entre eux, à courte échéance, il deviendra également un non-vivant. S'il meurt durant le processus d'alimentation, il se relèvera dans les minutes qui suivent. Par contre, si l'individu mordu survit, le processus prendra plusieurs heures au minimum.
Il est très intéressant de noter que l'alimentation et la reproduction sont intimement liées, nous rappelant ainsi les anciennes orgies antiques.
Enfin, que le non-vivant et le mordu soit mâles ou femelles n'influence en rien le processus.